• Un autre stéréotype concerne la prétendue suprématie des hommes en science alors que souvent à l'origine d'avancées considérables, nombre de femmes ont œuvré dans l'ombre d'un père, d'un frère, d'un mari ou d’un patron, qui eux sont passés à la postérité.

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    comme par exemple:

    Éclipsée par la notoriété de son mari

    Mileva Eintein, née Mileva Marić, est née le 19 décembre 1875 en Serbie, dans la ville de Titel. Elle fut la camarade d’études d’Albert Einstein, avant de devenir sa première épouse..Elle a été l’amie, la complice et l’amante de celui dont le nom est synonyme de génie.. Tout comme son illustre mari, Mileva fit carrière dans le domaine complexe de la physique, mais également des mathématiques,cette derniere était une discipline dans laquelle elle surpassait son mari. Il est donc arrivé régulièrement que celle-ci apporte des précisions ou des corrections à ses travaux. Une aide précieuse qu’Albert Einstein n’a jamais reniée, bien au contraire.Mais la décision de publier sous le seul nom d’Albert semble avoir été prise en commun. Pourquoi ?Surement pour la seul et même raison que beaucoup de femmes de l'époque écrivaient sous le nom d'un homme ou publiaient des recherches sous le nom d'un homme.Une publication co-signée avec une femme ou sous le nom d'une femme aurait pu en réduire l’impact étant donné les préjugés sexistes de l'époque. Aujourd’hui, on constate un important manque de femmes dans la science. Les inégalités concernant les femmes dans les sciences sont encore très présentes. Les femmes ont toujours du mal à trouver leur place dans ces milieux. D’après une analyse de l’Observatoire des inégalités, on comprend que dans les filières scientifiques, les femmes sont mal représentées avec seulement 38,7% de l’effectif des formations scientifiques de l’université..Ce qui comfirme le fait que a l'époque le domaine scientifique était réservé à l'homme.Mais pourquoi cette pensé était présente à l'époque.Les inégalités entre les hommes et les femmes dans les sciences ne datent pas d’hier. En Grèce Antique, de nombreuses femmes ont travaillé au côté de Pythagore sur l’étude de la philosophie naturelle.  Au Moyen Âge, la religion et la culture empêchent l’éducation et la participation des femmes dans les sciences malgré le succès de certaines.

     

    mais la conséquence d’une norme sociale dominée par le masculin.

     

     Et pourquoi elle persiste.Épouse, sœur, élève ou collaboratrice, la plupart des femmes scientifiques retenues par l'histoire sont assujetties au nom d'un homme. La mention de leur contribution est facultative, sans que l'on cherche ou que l'on puisse en déterminer la part. Comment évaluer précisément le mérite de Marie-Anne Lavoisier (1758-1836) dans la révolution scientifique attribuée à son époux ? Ses traductions éclairées des essais des chimistes britanniques, dont Richard Kirwan, ont pourtant permis de réfuter la théorie du phlogistique, et d'énoncer les thèses révolutionnaires du Traité élémentaire de chimie, ouvrage majeur dont elle a, par ailleurs, dessiné toutes les gravures. L'histoire des sciences a revêtu l'œuvre des femmes savantes d'un manteau d'oubli et de moquerie. Cette invisibilisation, pouvant aller jusqu'à l'usurpation, a été théorisée par l'historienne Margaret Rossiter sous le nom d'"effet Matilda",. Dans les autres domaines les femmes aussi sont mises de coté. 

     https://www.echosciences-grenoble.fr/articles/la-place-des-femmes-dans-la-recherche-scientifique

     





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